Impacts de l’impression 3D pour la réparation : le regard d’étudiant·e·s en master Gestion de l’Environnement
12 juin 2025
Dans le cadre d’un projet interdisciplinaire commandité par Repair Together en collaboration avec l'ULB, cinq étudiant·e·s en master Gestion de l’Environnement se sont penchés sur les motivations à utiliser l'impression 3D en Repair Café, et sur les impacts de l'utilisation de cette technologie.

Au travers d’une enquête et d’une étude d’analyse d’impact environnemental sur quelques réparations caractéristiques, ils proposent des pistes de réflexions intéressantes pour aborder les questions suivantes : que permet l’impression 3D dans le monde des Repair Cafés? Est-elle utile et pertinente? Quelles en sont les limites et les avantages?
Leur résultats tendent à montrer que l’utilisation de l’impression 3D peut réduire l’empreinte environnementale des objets étudiés, à condition que la pièce imprimée assure une réelle prolongation leurs durées de vie. De nombreux paramètres influencent les résultats, et l’analyse d’impact environnemental n’est pas le seul prisme permettant d’évaluer la pertinence de la technologie, mais les tendances observées convergent : réparer, même partiellement et avec l’impression 3D, est systématiquement plus vertueux qu’un remplacement intégral !
Pour en savoir plus, téléchargez leur article via ce lien : Repair Cafés : motivations des usagers et analyse environnementale de réparations par impression 3D
Cet article a été rédigé par Jessia Gaudino, Maximilien Waterloos, Josse Ouvourou-Ngalima, Albert Wigny, étudiant·e·s en master Gestion de l’Environnement à l’ULB. Toutes les sources utilisées pour cet article se trouvent dans un document annexe fourni au commanditaire et disponible sur demande.